Propagation Bis
After Blue (Paradis sale)
Bertrand Mandico
Chef Op : Pascale Granel
France
2022
2h07
VF
Science-Fiction
Jeu. 3 Mars
Megarama
21H30
Dans un futur lointain, sur une planète sauvage, Roxy, une adolescente solitaire, délivre une criminelle ensevelie sous les sables. A peine libérée, cette dernière sème la mort. Tenues pour responsables, Roxy et sa mère Zora sont bannies de leur communauté et condamnées à traquer la meurtrière. Elles arpentent alors les territoires surnaturels de leur paradis sale…
- Réalisateur : Bertrand Mandico
- Image : Pascale Granel
- Avec : Elina Löwensohn, Paula Luna, Vimala Pons
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Prix FIPRESCI, Locarno 2021. Meilleur film, Fantastic Fest, Austin 2021. Prix FIPRESCI et prix spécial du jury, Sitges 2021.
Critique(s)
« Un film plus vivant que l’intégralité de la production française du XXIe siècle! »
MAD MOVIES
« On rêve les yeux grands ouverts devant tant de trouvailles, de jeux de mots et d’agilité à tourner en dérision la folie du monde et la guerre permanente (politique, économique, sexuelle…) qui semblent miner toute action humaine. »Clarisse Fabre - LE MONDE
« … Dans un récit hybride entre conte et arts plastiques, Bertrand Mandico filme une planète lointaine où une mère et sa fille sont bannies de leur village… After Blue est ainsi un film planète, « de la même façon que les garçons sauvages était une île » "After Blue n’est jamais kitsch, ni simplement onirique. Les visions de Mandico sont trop puissantes et précises pour ces seuls qualificatifs. »Olivier Lamm - LIBERATION
« Réalisateur des plus iconoclastes et novateurs de sa génération, Bertrand Mandico signe un film fascinant et réjouissant qui se conjugue au féminin…« Tout est à faire. Rien n’est à refaire », est-il écrit au détour d’une image. L’un des plus beaux défis lancés au cinéma, mais aussi à la vie. »Marie-José Sirach - L’HUMANITE
« Une planète où seules les femmes ont survécu, menacées par une dangereuse créature… Plus qu’un western postapocalyptique, une expérience sidérante. » Frédéric Strauss - TELERAMA
« Ce que fait Bertrand Mandico avec ses mains, avec son œil, avec son écoute unique et de première importance à l’intérieur du cinéma (français et international). Ne le prenez pas comme une anomalie, il est notre espoir. » Philippe Azoury
